Pau - fête de la musique - mardi 21 juin 2016


Un très bon cru pour cette fête.

La météo était au top après des semaines de temps pourri; le public était donc particulièrement nombreux.

Un démarrage dès 18h et une fin vers 23h avec 4 lieux festifs:

  - en duo avec la banda les "Caihabaris" au bar associatif "sans alcool" (hé oui!) l'Entre-Temps où l'on a donné le départ de leur soirée; des gens très sympas, un accueil convivial par Thomas et pour nous une mise en lèvres musicale arrosée avec du Perrier; on a donc quitté le lieu en meilleur état qu'à notre arrivée.

   - au bar  l'Estanquet, toujours avec les Cahiabaris, où d'entrée on n'a pas pu résister à la bière abondamment servie; c'est ici que la presse en tout genre nous a flashé avec à la clef, le lendemain, une première page sur la République des Pyrénées et un reportage sur France Bleue Béarn.

   - dans le quartier du château, après avoir quitté les Caihabaris, où l'on a retrouvé nos marques annuelles : casse croute/pinard, rencontre de nos groupi(e)s et beaucoup d'autres nouveaux, et évidement le show musical gagné d'avance. Avec notre innovation du" karaoké de rue" le public en première ligne a poussé la chansonnette avec enthousiasme, entrainant les différentes couches arrières.

   - en final on a rejoint les Cahiabaris au palais des pyrénées; quasiment au complet, la banda a donné un festival puissant et continu digne de leurs plus grands jours.


 

 

L'affiche officielle, la première page de la République des Pyrénées, et le portrait de Patrick des Caihabaris dans Sud Ouest



 

 

Au bar associatif l'Entre-Temps avec Thomas, un des responsables de l'assos et la dégustation d'eaux gazeuses.



A l'Estanquet, en bordure du bar extérieur, quelques groupis bien accoudés et le journaliste de France Bleue Béarn (en chemise bleue comme il se doit) en pleine prise de sons (harmonieux?)



 

 

Dans le quartier du château, un de nos "spots" préférés; c'était autrefois une agence immobilière et depuis que l'on est habitués des lieux l'appellation a été adaptée.


 

 

Quelques scènes de notre "karaoké de rue".

Le public chante vraiment et "spontanément".