Saint Faust domaine Burgué - Rando des Sangliers - dimanche 30 avril 2017


C'était la 21ème édition de la "Rando des Sangliers", rencontre mythique organisée par l'ASC Laroin. Environ 1500 participants cette année, pédibus et cyclocross, de chais en chais dans le vignoble du Jurançon.

En 2016 nous avons eu le plaisir de contribuer à l'animation de l'étape des "patates"; cette fois ci nous étions positionnés au domaine de Henri Burgué à Saint Faust de Bas.

De 9h30 à 12h30, au fil des arrivées des groupes de randonneurs, nous avons déroulé notre répertoire éclectique et festif avec de nombreux temps forts : nous pouvons citer la séquence "Ti Bo, Gonzales..." se terminant par une méga "Chenille" à laquelle tous les présents dans la cour, dont les cyclo roulants pour handicapés, n'ont pu échapper. Evidemment le "Paquito" sur "Vino Griego" n'a pas dérogé à la tradition...

En final, un repas avec le traditionnel civet de sanglier (top gustatif !), a été servi dans le gymnase de Laroin avec une ambiance au beau fixe, de tables en tables, pendant que l'orage annoncé et heureusement tardif faisait rage sur le stade.

Une fois de plus, une super journée !


Le groupe, exceptionnellement matinal, a pu démarrer quasiment à l'heure.



 

Tout baigne dans la cour du domaine de Henri Burgué : vin, convivialité, musique...et soleil !



 

 

                  Le traditionnel "Paquito" sur l'air de "Vino Griego".



 

 

 

Le karaoké a (presque) toujours son petit succès...



 

Ambiance de "guinguette" avec un petit "grand blanc sec" du domaine.



 Choses vues : Bruno en phase de stress avant d'entrer en piste à la grosse caisse, le Jurançon livré à domicile, l'entrée en piste du "handi-cross" pour la "chenille", une chorégraphie endiablée.

( pour voir la séquence "chenille" cliquer ici )



 

 

 Le portrait des Fanfarmonistes.

A noter la présence de Tonio à la caisse claire, c'était son premier contact avec le groupe afin de nous dépanner; il a été naturellement au top, il est vrai qu'il assure le poste à la banda "Lous Berretes" d'Aureilhan.

Alain n'a pas eu droit à son portrait : c'est lui qui a pris les photos !